L’ACMV s’associe aux intervenants agricoles pour améliorer l’accès aux outils de soins vétérinaires
8 janv., 2025
L’Association canadienne des médecins vétérinaires (ACMV) travaille en partenariat avec 15 intervenants nationaux de l’ensemble du secteur agricole pour améliorer l’accès aux produits pharmaceutiques vétérinaires, aux produits de santé vétérinaire, aux aliments pour le bétail et aux produits biologiques vétérinaires.
L’ACMV, de concert avec d’autres parties intéressées représentant les éleveurs de bétail et les fabricants de produits vétérinaires du Canada, a signé un livre blanc indiquant que les agriculteurs et les vétérinaires ont un besoin urgent d’un accès accru à une vaste gamme d’outils qui permettront de prévenir et de contrôler les maladies et de promouvoir la santé et le bien-être des animaux afin de contribuer efficacement à une approche « Une seule santé ».
L’accès des agriculteurs et des vétérinaires canadiens à ces outils est à un point critique, qui est aggravé par le fait que le nombre d’outils actuellement approuvés et disponibles diminue à un rythme soutenu. Résultat : les agriculteurs et les vétérinaires canadiens sont obligés de se fier à un nombre de plus en plus limité d’outils, dont bon nombre sont également importants en médecine humaine. Non seulement cette situation a des répercussions sur la santé animale et humaine, mais elle place également le Canada dans une position concurrentielle désavantageuse par rapport aux autres pays qui ont accès à ces outils.
Le livre blanc propose un certain nombre de solutions conçues pour aider à améliorer l’accès aux outils vétérinaires essentiels, ce qui, à son tour, permettra aux agriculteurs et aux vétérinaires canadiens de mieux se positionner pour jouer leur rôle dans une approche « Une seule santé ».
Certaines des nombreuses solutions proposées incluent l’harmonisation des exigences et des inspections des installations de fabrication de produits pharmaceutiques vétérinaires avec des juridictions de confiance afin de réduire les coûts et de réduire les coûts d’approbation en acceptant les produits pharmaceutiques vétérinaires déjà approuvés par des autorités réglementaires de confiance agréées dans d’autres juridictions telles que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Lisez le livre blanc complet ici.