Même si, parmi les médecins vétérinaires et les technologues en santé animale, 1 personne sur 5 a signalé l’idéation du suicide, l’épuisement professionnel et la dépression, la plupart feront preuve de prudence pour en parler à un collègue de travail, à un ami ou à un membre de la famille. Il sera encore moins probable qu’ils adoptent des stratégies d’autosoins ou sollicitent de l’aide professionnelle. Et, même si certains membres de la profession vétérinaire peuvent ne pas vivre une maladie mentale eux-mêmes, il est probable qu’ils connaissent quelqu’un qui a vécu ou vivra une maladie mentale.
Merck Santé animale et l’ACMV donnent l’exemple afin d’entamer des conversations ouvertes et honnêtes à propos de la santé mentale au sein de la collectivité vétérinaire, d’aider à dissiper les préjugés et de créer une collectivité où les membres collaborent et s’entraident.