CVJ - mars 2025, Vol. 66, No. 3

Scientifique

Communication brève

Évaluation du biais de publication dans l’évaluation du traitement probiotique des maladies gastro-intestinales chez les chiens et les chats

J. Scott Weese (page 250)

Contexte
Les revues systématiques et les méta-analyses soutiennent le cadre de décision fondé sur les données probantes utilisé pour l’élaboration des lignes directrices. Il est important de comprendre le biais de publication lors de l’évaluation de la force des preuves.

Objectif
Évaluer le taux de publication dans des revues avec comité de lecture de résumés de deux conférences de médecine interne vétérinaire concernant le traitement probiotique des maladies gastro-intestinales chez les chiens et les chats.

Animaux et procédure
Les résumés du Forum de l’American College of Veterinary Internal Medicine (2000 à 2023) et du Congrès de l’European College of Veterinary Internal Medicine (2002 à 2023) qui ont rapporté les résultats cliniques des maladies gastro-intestinales du traitement probiotique pour les chiens, les chats ou les deux ont été inclus. Les bases de données PubMed et Web of Science ont été consultées pour identifier les publications évaluées par des pairs correspondantes.

Résultats
Douze résumés ont été identifiés; 6 (50 %) ont été ultérieurement publiés dans des publications évaluées par des pairs. Cinq des six (83 %) études publiées ont fait état de résultats cliniques positifs, tandis que 4/6 (67 %) études non publiées n’ont fait état d’aucun résultat clinique bénéfique. Au total, 5/7 (71 %) des résumés faisant état d’un effet clinique ont été publiés, contre 1/5 (20 %) qui n’en faisait pas fait état.

Conclusion
Le biais de publication complique l’évaluation de la littérature et l’élaboration des lignes directrices.

Pertinence clinique
L’impact potentiel du biais de publication doit être pris en compte lors de l’évaluation de la littérature et de l’élaboration des lignes directrices.

Rapports de cas

Hyperplasie adénomateuse salivaire rétropharyngée imitant une métastase tumorale chez un chien

Jeongyun Jeong, Minjoo Kim, Jaehwan Kim, Kidong Eom (page 255)

Ce rapport décrit le cas d’un caniche mâle castré de 13 ans souffrant de détresse respiratoire et de toux. Le chien avait subi une résection de la glande thyroïde droite et du ganglion lymphatique ipsilatéral en raison d’un carcinome folliculaire thyroïdien originaire de la glande thyroïde droite avec métastase au ganglion lymphatique rétropharyngé médial ipsilatéral. Le chien a été initialement traité pour une bronchite chronique mais n’a montré aucune résolution des signes cliniques. L’échographie a révélé une masse rétropharyngée médiale gauche hypoéchogène élargie. La tomodensitométrie a également révélé une masse rétropharyngée médiale gauche élargie et hétérogène avec des marges irrégulières. La masse comprimait les bords du larynx et était considérée comme responsable de toux et de détresse respiratoire. Sur la base des antécédents de carcinome thyroïdien du chien, une lymphadénopathie métastatique du ganglion lymphatique rétropharyngé médial gauche a été suspectée et la masse a été retirée chirurgicalement. L’examen histopathologique a révélé une légère hyperplasie salivaire adénomateuse avec ectasie canalaire. Aucun signe de néoplasme ou d’inflammation sévère n’a été observé. Le diagnostic final était une hyperplasie adénomateuse salivaire dans la région rétropharyngée. L’hyperplasie adénomateuse salivaire peut être responsable de signes cliniques, selon la taille et la localisation. Il peut être difficile de différencier l’hyperplasie adénomateuse salivaire des tumeurs malignes en se basant uniquement sur les résultats de l’imagerie. Ce cas a démontré comment l’hyperplasie adénomateuse salivaire peut imiter des tumeurs malignes, en particulier chez les animaux ayant des antécédents de malignité tumorale adjacente.

Message clinique clé :
À notre connaissance, il s’agit du premier rapport chez un chien d’une hyperplasie adénomateuse salivaire imitant une métastase tumorale. Il peut être difficile de différencier une hyperplasie adénomateuse maligne et salivaire en utilisant uniquement les résultats de l’imagerie. Bien qu’elle soit histologiquement bénigne, l’hyperplasie adénomateuse salivaire peut provoquer des signes cliniques.

Traitement réussi de l’ossification du tendon infra-épineux et de la bourse séreuse chez un labrador retriever

Sophie Cormillot, Colin Sereda (page 262)

Ce rapport de cas décrit le traitement chirurgical réussi d’un jeune chien labrador retriever mâle (âgé de 3 ans) présentant une minéralisation du tendon et de la bourse du muscle infra-épineux. La condition a été diagnostiquée par un examen physique et orthopédique ainsi que par tomodensitométrie. Le chien a été soumis à un traitement médical impliquant du repos, des exercices contrôlés, du déracoxib, une thérapie par ondes de choc et des injections intra-articulaires de glucocorticoïdes sans succès avant une correction chirurgicale. Le traitement chirurgical impliquait la résection du matériel minéralisé et la ténectomie de l’insertion de l’infra-épineux sur l’humérus proximal. La boiterie et la douleur du chien ont complètement disparu après l’opération et le chien continue de ne ressentir aucune boiterie ni douleur 7 mois après l’opération.

Message clinique clé :
Le traitement chirurgical réussi de la minéralisation du tendon et de la bourse du muscle infra-épineux chez un chien est décrit. L’approche diagnostique, le traitement et le résultat clinique sont détaillés pour fournir une référence pour le traitement potentiel des cas futurs.

Utilité du traitement de réduction transnasale du volume pour les tumeurs nasales par émulsification et succion chez 2 chiens

Shinya Mizutani, Yuko Mizutani, Yoshimichi Goda, Taketoshi Asanuma, Shidow Torisu (page 267)

Les tumeurs intranasales chez le chien sont des maladies néoplasiques rares qui présentent des symptômes cliniques évidents, tels que l’épistaxis, la congestion nasale et la déformation de la face. La radiothérapie est le traitement de choix, mais elle n’est pas toujours accessible en raison de la situation géographique ou de contraintes logistiques et financières. Cependant, ces traitements peuvent ne pas être réalisés en raison de diverses restrictions. Nous avons procédé à une réduction du volume de la tumeur intranasale par voie transnasale chez deux chiens atteints de tumeurs intranasales. Les tumeurs intranasales de la cavité nasale étaient des adénocarcinomes et des fibrosarcomes. Dans les deux cas, une amélioration de la qualité de vie, telle que l’amélioration des symptômes cliniques et de l’activité, a été observée environ une semaine après le traitement. Aucune complication évidente n’a été associée à ce traitement. Une récidive tumorale a été constatée dans les deux cas. Ce traitement a pu être réalisé plusieurs fois. Cette réduction transnasale du volume de la tumeur nasale est une méthode palliative. Elle est considérée comme un traitement qui contribue à l’amélioration des symptômes cliniques et de la qualité de vie.

Message clinique clé :
Nous rapportons un traitement palliatif de tumeurs intranasales chez le chien. Le traitement employé dans ce rapport est à la portée de la plupart des vétérinaires et contribue à améliorer la qualité de vie des chiens atteints de tumeurs nasales, notamment en améliorant leur état respiratoire.

Articles

N’ignorez pas les questions difficiles : une enquête qualitative sur les facteurs de stress professionnels ayant un impact sur la santé mentale des vétérinaires

Megan Campbell, Briana N.M. Hagen, Basem Gohar, Jeffrey Wichtel, Andria Q. Jones (page 274)

Objectif
Explorer les points de vue des vétérinaires cliniciens canadiens sur les facteurs de stress professionnels. Bien que les recherches existantes aient mis l’accent sur la déclaration quantitative des facteurs de stress professionnels en médecine vétérinaire, une approche qualitative peut apporter de la profondeur et du contexte.

Procédure
Des entretiens individuels ont été menés auprès de 25 vétérinaires lors de la conférence 2016 de l’Association canadienne des médecins vétérinaires.

Résultats
L’analyse thématique a révélé 9 thèmes de facteurs de stress professionnels : la nature de la profession, les relations vétérinaires, les interactions avec les clients, les finances personnelles inadéquates, la tension en début de carrière des vétérinaires, la tension du propriétaire de la clinique, le fardeau de la responsabilité, les caractéristiques personnelles auto-décrites, les facteurs de stress moraux et la détresse morale. Les participants ont également discuté des implications perçues de ces facteurs de stress.

Conclusion
Cette étude contribue aux connaissances sur la santé mentale des vétérinaires et discute des recommandations pour atténuer les facteurs de stress professionnels afin de promouvoir le bien-être des vétérinaires.

Pertinence clinique
Comprendre les facteurs de stress professionnels auxquels sont confrontés les vétérinaires cliniciens et leurs effets peut mener à des stratégies plus ciblées et plus complètes pour soutenir le bien-être mental des vétérinaires en milieu clinique.

Prédicteurs et obstacles à l’adoption de la biosécurité et à la compréhension des risques chez les propriétaires de chevaux de l’Ontario

Juliet A. Germann, Terri L. O’Sullivan, Amy L. Greer, Kelsey L. Spence (page 288)

Objectif
Cette étude visait à décrire la mise en œuvre des pratiques de biosécurité par les propriétaires de chevaux de l’Ontario et à déterminer si la mise en œuvre de la biosécurité était associée aux caractéristiques démographiques et aux traits de personnalité des propriétaires de chevaux.

Procédure
Un questionnaire transversal a été administré à un échantillon de convenance de propriétaires de chevaux en Ontario afin de recueillir des données sur la démographie, les traits de personnalité, la compréhension des risques et les pratiques de biosécurité. L’analyse hiérarchique des groupes a été utilisée pour identifier les groupes de participants ayant des traits de personnalité communs, et les associations univariées entre les groupes et les variables démographiques et de biosécurité ont été examinées.

Résultats
Au total, 271 participants ont été inclus dans l’analyse. Les participants étaient principalement des femmes (86 %), âgées de 25 à 44 ans (57 %) et pratiquant l’équitation de loisir (64 %). Cinquante-neuf pour cent des participants ont indiqué que des plans de biosécurité au niveau des établissements étaient en place, et 47 % d’entre eux ont indiqué que des vaccinations étaient requises dans le cadre de ces plans. D’autres pratiques de biosécurité ont été signalées comme étant utilisées moins souvent par les participants; par exemple, le lavage des bottes (31 %) et la désinfection des mains (27 %). Deux groupes de participants ont été identifiés en fonction des similitudes dans les traits de personnalité : le groupe 1, caractérisé par des scores d’extraversion élevés; et le groupe 2, caractérisé par des scores de névrosisme élevés. Les participants du groupe 1 étaient davantage impliqués dans les compétitions, recherchaient des informations auprès d’autres propriétaires de chevaux et recevaient des nouvelles sur les épidémies de la part des vétérinaires. Les participants du groupe 2 ont montré une plus grande variabilité dans les pratiques de biosécurité mises en œuvre.

Conclusion
La biosécurité est mise en œuvre de manière variable dans les installations équines de l’Ontario, ce qui justifie la nécessité de déployer des efforts continus pour accroître son adoption dans les installations à haut risque. Les recommandations incluent la promotion de la collaboration, la fourniture d’un soutien et de ressources personnalisés et l’amélioration des canaux de communication.

Pertinence clinique
Les caractéristiques démographiques, la personnalité et d’autres caractéristiques liées au mode de vie influencent les comportements des propriétaires de chevaux en matière de biosécurité. Les vétérinaires équins pourraient avoir intérêt à prendre en compte ces facteurs pour garantir une communication et une mise en œuvre efficaces des plans de biosécurité dans les installations équines.

Étude angiographique par tomodensitométrie des relations anatomiques de l’artère carotide commune chez le chien

Jenna Feyler, Etienne Côté, Chick Weisse, Sue Dawson (page 298)

Objectif
Mieux comprendre les relations spatiales des artères carotides communes avec les structures adjacentes grâce à l’évaluation des angiogrammes par tomodensitométrie chez les chiens.

Animaux
24 chiens de compagnie.

Procédure
Une recherche a été effectuée dans une base de données pour trouver des angiogrammes par tomodensitométrie triplanaire incluant la base du cœur caudalement et la 5e vertèbre cervicale crânialement, sans anomalies macroscopiques. Les mesures comprenaient la longueur du tronc brachiocéphalique, la position des artères carotides communes par rapport à la trachée, la hauteur et la largeur thoraciques transversales (axiales), la longueur du manubrium et la longueur de la 7e vertèbre cervicale (C7).

Résultats
Les mesures (moyenne ± écart type) comprenaient la longueur du tronc brachiocéphalique = 3,65 ± 1,34 cm (n = 24), la hauteur moyenne de l’entrée thoracique = 6,51 ± 2,03 cm (n = 23), la largeur moyenne de l’entrée thoracique = 4,69 ± 1,35 cm (n = 20), longueur moyenne du manubrium = 3,52 ± 1,15 cm (n = 22) et longueur moyenne de C7 = 1,93 ± 0,46 cm (n = 23).

Conclusion
Certaines ou toutes les mesures étaient réalisables chez tous les chiens. La compréhension des variations interindividuelles dans les relations spatiales est importante pour différencier le normal de l’anormal, pour la planification chirurgicale et éventuellement pour élucider la pathogenèse de certains problèmes.

Pertinence clinique
Il est possible d’obtenir ces mesures chez le chien. Cette technique pourrait être appliquée à des sous-groupes de chiens (par exemple, des races) et à des chiens présentant des anomalies cervicales ou thoraciques.

Une enquête rétrospective sur les maladies oculaires équines évaluées dans un hôpital de référence en Ontario (2011 à 2021)

Sonja T. Ing, Chantale L. Pinard, Elizabeth M. James-Jenks, Marina L. Leis (page 308)

Objectif
Notre objectif était d’étudier la démographie et la prévalence des maladies oculaires dans une large population de chevaux référés en Ontario sur une période de 10 ans.

Animaux et procédure
Une analyse rétrospective des dossiers médicaux de 283 chevaux évalués par des ophtalmologistes vétérinaires certifiés du Ontario Veterinary College (Guelph, Ontario) a été réalisée. Le signalement et les maladies oculaires ont été enregistrées.

Résultats
Les 3 anomalies oculaires les plus fréquemment identifiées étaient l’uvéite (43,7 %, 123 chevaux), la kératite ulcéreuse (42,0 %, 119 chevaux) et la cataracte (25,1 %, 71 chevaux). L’uvéite était le plus souvent secondaire à une autre maladie oculaire. Les chevaux d’âge moyen (5 à 15 ans) présentaient une proportion plus faible de kératite ulcéreuse que les jeunes chevaux (0 à 4 ans) et les chevaux plus âgés (16 à 35 ans) (P = 0,015). Les chevaux plus âgés étaient plus susceptibles d’être diagnostiqués avec un glaucome que les chevaux jeunes et d’âge moyen (P = 0,022). Le Thoroughbred était la race la plus couramment mentionnée. Les chevaux de race Warmblood étaient significativement moins susceptibles de recevoir un diagnostic d’uvéite par rapport aux autres races (P = 0,05). Les maladies des annexes de l’œil et les néoplasies étaient toutes deux plus répandues chez les races de trait que chez les autres races (P < 0,001).

Conclusion et pertinence clinique
Pour la première fois, les maladies oculaires les plus répandues et les races référées pour maladies oculaires sont décrites chez les chevaux de l’est du Canada. Cette étude sert de référence pour les praticiens et établit une base pour les études futures.

Résultats de la cystectomie totale avec traitement médical dans le carcinome urothélial canin du trigone de la vessie

Yosuke Takahashi, Daiki Kato, Shingo Maeda, Tomoki Motegi, Atsushi Fujita, Yuko Hashimoto, Takayuki Nakagawa, Ryohei Nishimura (page 318)

Objectif
Cette étude visait à évaluer les résultats et les complications chez les chiens atteints d’un carcinome urothélial (CU) du trigone de la vessie traités par cystectomie totale utilisant une anastomose urétéro-prépuce/vagin/cutanée associée à un traitement médical.

Animaux
Vingt-et-un chiens.

Procédure
La cystectomie totale a été réalisée comme suit : la vessie et l’urètre ont été entièrement retirés et les uretères ont été anastomosés à la peau dans 1 cas et au vagin dans 9 cas chez les femelles. La vessie, la prostate, l’urètre et le pénis ont été entièrement retirés et les uretères ont été anastomosés au prépuce chez 11 mâles. Des traitements médicaux ont été administrés à tous les chiens après la chirurgie.

Résultats
Les complications chirurgicales à court terme comprenaient la diarrhée (16 chiens), une lésion rénale aiguë (2 chiens) et une déhiscence de l’anastomose urétérovaginale (3 chiens). Les complications chirurgicales et médicales à long terme comprenaient une pyélonéphrite (11 chiens) et une maladie rénale chronique (5 chiens). Dans l’analyse de survie, la durée médiane de survie à partir du diagnostic initial dans tous les cas était de 481 jours, ce qui était plus long que la durée médiane de survie précédemment rapportée chez les chiens atteints de CU impliquant le trigone.

Conclusion et pertinence clinique
La cystectomie totale associée à un traitement médical a prolongé la survie globale par rapport aux procédures médicales, chirurgicales ou de pose de stent chez les chiens atteints de CU impliquant le trigone.

Compte rendu

Brucellose humaine causée par Brucella canis : une étude de portée

J. Scott Weese, Heather E. Weese (page 327)

Contexte
Brucella canis est une cause potentielle de brucellose chez l’homme, mais cette maladie a été mal caractérisée.

Procédure
Une étude de portée a été réalisée.

Résultats
L’examen a donné lieu à 24 études décrivant une infection clinique à B. canis chez 68 personnes. L’âge médian était de 32 ans (intervalle : 17 mois à 71 ans). La fièvre, la fatigue, les maux de tête, les frissons et les malaises prédominent.

Des traitements spécifiques ont été rapportés pour 30 individus. La tétracycline (tétracycline, doxycycline ou minocycline) était le seul traitement ou une partie d’un traitement combiné pour la plupart (21/30, 70 %) des individus, suivie de la rifampicine (9/30, 30 %), du triméthoprime-sulfaméthoxazole (7/30, 23 %), et un aminoglycoside (gentamicine, streptomycine) (7/30, 23 %). Les résultats cliniques ont été rapportés pour 35 individus. Aucun décès n’a été signalé.

Une source d’exposition connue ou suspectée a été signalée pour 56 cas; 45 (80 %) étaient liés aux chiens et 11 (20 %) à une exposition en laboratoire. Le contact avec des chiens de compagnie ayant avorté ou avec des fœtus avortés représentait 31 % des expositions canines.

Conclusion et pertinence clinique
La brucellose attribuée à B. canis peut provoquer un large éventail de manifestations cliniques chez l’homme, mais elle est similaire à la brucellose causée par d’autres Brucella spp. Cette nature non spécifique souligne l’importance d’identifier les facteurs de risque d’exposition, afin de déterminer si une infection à B. canis doit être envisagée.

Test éclair

(page 248)

Rubriques

Le mot du président

ACMV 2.0 – La nouvelle ACMV

Tim Arthur (page 239)

Déontologie vétérinaire

(page 244)

Compte rendu de livre

The vet at Noah’s Ark: Stories of survival from an inner-city animal hospital

Jamie Rothenburger (page 246)

Commentaire

Opinion on the evolution of veterinary practice

J.D. (Jim) Stowe (page 335)

Dermatologie vétérinaire

Canine atopic dermatitis: An evolving understanding

Jangi Bajwa (page 341)

Ophtalmologie diagnostique

Lynne S. Sandmeyer, Marina L. Leis (page 346)

Gestion d’une pratique vétérinaire

Les cliniques vétérinaires doivent reprendre leurs habitudes d’avant la pandémie pour arrêter de perdre des clients

Amy Noonan, Darren Osborne (page 349)

Annonces

Index des annonceurs

(page 344)

Annuaire des entreprises

(page 353)